L’engouement depuis plusieurs mois pour les NFT (non-fongible tokens ou jetons non fongibles) met une nouvelle fois à l’honneur la blockchain (chaîne de blocs en français). Tous les secteurs d’activité reconnaissent aujourd’hui l’intérêt et la force de cette technologie ; la blockchain permet le stockage et la transmission d’informations décentralisée (et peut donc se passer des tiers de confiance habituels) de façon transparente et sécurisée, la rendant, selon ses partisans, immuable et infalsifiable. Se pose alors la question de la valeur probante de la blockchain en droit français.
L’article rédigé par Caroline Goupil, Associée et Manon Zaoui, Collaboratrice au sein du département IT / Data et Hugues Villey, Associé au sein du département Concurrence/Distribution est à retrouver au sein de la Revue Lamy Droit de l’immatériel numéro 194, Juillet 2022.
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