Dans un article paru dans DAF Mag, revue de référence des directeurs administratifs et financiers, Augustin Nicolle, Avocat associé et Mathieu Ducrocq, Avocat collaborateur au sein du département Contentieux des affaires décryptent le développement de nouvelles solutions de financement de litiges, que ce soit en arbitrage mais également devant des juridictions communautaires ou nationales : le « third party funding ».
Trop souvent se pose, malheureusement, le cas de conscience d’une partie lésée qui, face aux coûts importants que peuvent représenter des procédures judiciaires longues, compliquées, et par nature incertaines, préfère sauvegarder sa trésorerie et développer son activité, quitte à faire une croix sur une action judiciaire pourtant légitime. Des dommages et intérêts, oui, mais pour quand ? Et à quels coûts en amont (avocats, experts, huissiers, arbitres…) ? C’est la raison d’être des third party funders ou tiers financeurs.
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